« Un récit touchant sur l’immigration, un défi aux récits politiques faciles sur Cuba, la démocratie et notre réponse collective à l’autoritarisme. »
The New York Times
La vie à Cuba à hauteur d’enfants : l’endoctrinement à l’école, le manque de médicaments, l’espionnage des voisins, les jouets de fortune… Des anecdotes concrètes pour toucher du doigt la réalité du régime.
Worm désigne le vers ou la vermine. C’était le surnom que Fidel Castro utilisait pour décrire les Cubains qui cherchaient à fuir après la révolution de 1959. Edel Rodriguez en a fait partie. Il raconte sa jeunesse sur l’île, dans les champs de canne à sucre ou à la périphérie des villes, où ses parents partent discuter pour échapper aux oreilles indiscrètes. En images saisissantes, il nous fait vivre la privation de liberté, nous montre la fuite depuis le port de Mariel en 1980 sur des bateaux de fortune. Et tisse le parallèle entre le dictateur cubain et l’ex président américain, Donald Trump. Un livre majeur sur la soif de liberté et les menaces qui planent sur elle.
« Ce livre est tellement bon qu’il sera probablement interdit en Floride »
Chip Kidd, auteur lauréat de trois prix Eisner
« Exaltant, immensément puissant, magnifique, Worm ouvre vraiment l’imagination et vous emporte ».
Philippe Sands, avocat et auteur de Retour à Lemberg
« Edel est l’un des rares artistes qui parviennent avec brio à simplifier des sujets compliqués sans jamais tomber dans les clichés ».
Klaus Brinkbäumer, ex-rédacteur en chef de Der Spiegel
« Worm m’a consumé plus que n’importe quel mémoire que j’ai lu auparavant, et ce n’est pas peu dire. Il appartient au panthéon que Maus a construit »
Steven Heller, directeur artistique de la New York Times Book Review durant 33 ans